Eh bien... le bureau de Détroit ne m'a pas encore demandé de partir, alors j'ai l'impression que le stage s'est très bien passé jusqu'à présent ! Mais vraiment, toute plaisanterie mise à part, j'en suis à peu près à la moitié de mon stage chez Alberici et je n'ai pas regretté une seconde ma décision de venir à Détroit. En fait, les expériences que j'ai vécues jusqu'à présent ont renforcé tout ce que l'on m'avait dit d'attendre au salon de l'emploi et lors de mes entretiens. Le temps a passé si vite que j'ai du mal à croire que j'ai déjà atteint la moitié de mon stage.
Bien que mon activité sur le chantier ait ralenti, j'ai pu me rendre plus souvent au bureau ces deux dernières semaines pour participer à l'élaboration d'un appel d'offres pour un projet automobile. Cette expérience m'a ouvert les yeux. Comme le savent la plupart des personnes travaillant dans le secteur de la construction, c'est par l'expérience que l'on apprend le plus, et non en lisant des livres. Ce fut une expérience formidable de mettre à profit certaines des compétences en matière d'estimation que j'ai acquises en classe et d'apprendre le processus d'estimation sous la direction de Marek Kollar. Non seulement j'ai pu accomplir un travail significatif au bureau, mais j'ai pu interagir avec les corps de métier, ce qui m'a permis d'être exposée à toutes les facettes du projet. La lenteur du travail sur le terrain n'a en rien nui à mon expérience. En fait, cela m'a permis d'enrichir mon expérience en m'exposant à la phase d'approvisionnement du processus de construction.
Ce stage chez Alberici m'a également permis de me familiariser avec l'aspect commercial de la construction - un aspect qui est rarement abordé dans les programmes de premier cycle, mais un domaine qui, tout comme Alberici, m'intéresse particulièrement. J'ai eu l'occasion d'assister à une multitude de conférences téléphoniques avec des équipes de projet et des clients. Cela m'a permis de voir comment Alberici mène ses activités au quotidien. Cela montre qu'Alberici s'engage à former ses stagiaires en leur confiant des responsabilités significatives - très loin du stéréotype de l'entreprise que je craignais en venant travailler pour une si grande société. J'attends avec impatience le sommet des stagiaires qui se tiendra dans quelques semaines à St. Louis, où j'aurai l'occasion de rencontrer des stagiaires de tous les secteurs de la société Alberici et de partager nos expériences !
Reid est un stagiaire qui raconte ses expériences de travail au bureau d'Alberici à Détroit cet été. Cliquez ici pour lire son premier billet.